Vivre en basque #euskarazbizi #vivreenbasque
Même confiné, la littérature basque reste accessible
Première vidéo de Nora Arbelbide Lete, de la Médiathèque de Biarritz. Et même si la Médiathèque est fermée, même confiné, internet reste une fenêtre ouverte vers la littérature.
31 Mars 2020 | ± 01min 11s
Pour cette première vidéo un petit mot du livre coécrit par Amets Arzallus Antia et Ibrahima Balde. Arzallus devait venir à la médiathèque cette semaine.
Miñan (Susa) raconte l’histoire de Ibrahima Balde, en basque. Son voyage de sa Guynée (Conacry) natale à Irun, parti à la recherche de son petit frère. C’est à Irun qu’il rencontre Amets Arzallus bertsolari (poète versificateur) hendayais.
La langue natale de Balde est le pulaar. En pulaar Miñan signifie "petit frère" ou "petite soeur". En basque miñan signifie "dans la douleur". Ce seul mot résume tout. La raison pour laquelle Balde à quitté son pays: chercher son frère, et toute la douleur endurée.
Le livre n’est pas traduit en français.
Mais voici un lien pour ceux qui ne connaissent pas Amets Arzallus.